Les journalistes affirment qu’il « est difficile de savoir ce qui se passe en Syrie », qu’il est « difficile de couvrir le conflit syrien ».
Il n’y a pas une guerre civile en Syrie, comme les commentateurs continuent de l’affirmer. Mais une guerre fomentée par l’extérieur et menée essentiellement par des mercenaires .
Ce ne sont pas ceux des journalistes qualifiés de « grands reporters » qui depuis 2011 sont allés en « zone contrôlée par l’ASL » [1] accompagnés par des fixeurs liés aux filières terroristes qui ont informé correctement le public.
Ils ont ignoré les Syriens qui demeurent en zone gouvernementale est qui souffrent de voir arriver les « opposants » armés et sont victimes de leur sauvagerie.
Silvia Cattori
[1] Nous avons toujours pensé que la distinction faite entre « rebelles » de l’ASL et djihadistes, est un leurre. Les responsables de l’anti-terrorisme reconnaissent maintenant - ce que nous disons depuis le début du conflit - qu’entre ASL et groupes terroristes djihadistes (Al Nosra, Al Farouk, Front islamique) c’est pareil