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Le vrai visage des « gentils révolutionnaires » de l’ASL

Les agresseurs de la prétendue « Armée syrienne libre » (ASL) pro-démocratie capturent, torturent et exécutent des civils.

Vidéos montrant les exactions perpétrées par les combattants de l’ASL :

http://www.internationalnews.fr/article-les-terroristes-islamistes-de-l-armee-syrienne-libre-executent-leurs-prisonniers-de-guerre-video-108750534.html

Nos médias relayent, depuis dix-sept mois, une information fondée principalement sur les dépêches partiales de l’AFP, les vidéos manipulées par les groupes terroristes et les comptes rendu de l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH) ; une officine partisane financée par le Qatar.

Le point de vue des Syriens qui en leur majorité, soutiennent le gouvernement de Bachar el-Assad et l’armée régulière, est totalement ignoré.

Le photographe britannique John Cantlie et le photographe néerlandais Jeroen Oerlemans - enlevés et blessées dans le nord de la Syrie par les hommes de l’Armée syrienne libre (ASL) le 19 juillet et libérés le 26 juillet - ont révélé qu’une partie de leurs ravisseurs, au nombre de 30 environs, « venaient du Royaume-Uni » ; qu’une « douzaine parlaient anglais et neuf avaient l’accent londonien », qu’il « n’y avait aucun Syrien présent » dans le camp. Que leurs ravisseurs « venaient du Pakistan, du Bangladesh, du Royaume-Uni, de Tchétchénie ». Cette information qui prouve que de nombreux mercenaires islamistes - entrés via l’Irak, le Liban, la Turquie et la Jordanie - se battent en Syrie, n’a pas été beaucoup relayée par les médias traditionnels.

De l’Afghanistan, à l’Irak, à la Libye, maintenant la Syrie...

Omar Ouaman, Valérie Crova, Martine Laroche-Joubert, etc, qui ont couvert cette crise ce sont des journalistes formatés ; ils ne s’écartent jamais de la ligne éditoriale dictée par leurs supérieurs ; une ligne qui n’a absolument rien à voir avec le devoir d’informer correctement le public.

Silvia Cattori